Concert Epernay
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Concert Epernay
La chanteuse bretonne était hier au Millesium La Saint-Patrick de Nolwenn
La tournée « Bretonne » a fait escale hier soir à Epernay. Des Sparnaciens bien chanceux : le soir de la fête des Irlandais, c'est Nolwenn en personne qui leur a chanté des airs de l'île verte.
Ils étaient 2 000 hier soir à s'être dit que passer la Saint-Patrick avec Nolwenn ne pouvait pas être une mauvaise idée. Qui de mieux que la jeune Brestoise et ses chants traditionnels pour incarner la fête chère à ces autres celtes que sont les Irlandais ?
Pour ce voyage, le Millesium avait pris hier soir des airs de vieux bateau. Un voile translucide étendu devant la scène avant l'arrivée de la chanteuse projetant des images de marée, le bruit de vagues, et même une petite brume. Le décor est planté.
Dès l'introduction, « Women of Ireland », les passagers savent qu'ils vont longer quelques fois dans la soirée les côtes vertes. La chanteuse apparaît, telle une ombre derrière le voile. Le navire applaudit à tout rompre.
Au morceau suivant, lorsque le voile tombe, elle se révèle enfin à son public. Alors que les premiers fans, et quelques enfants ne tiennent plus et s'empressent - déjà - d'aller poser quelques fleurs au pied de l'artiste, la belle se dandine au rythme d'un autre son anglo-saxon, « Dirty old town », morceau popularisé par les Pogues. Dans un ensemble noir à paillettes, petit pantalon collant, haut transparent, Nolwenn, lèvres d'un rouge vif, se promène sur le pont autour de ses musiciens. Avec leurs airs de vieux marins (des marinières, un kilt, des cheveux longs, quelques barbes), ils ne dépareillent pas avec l'ancre géante érigée au milieu de la scène.
Avec « Whiskey in the Jar » (chant traditionnel), l'équipage est revenu ensuite en Irlande. Ce sera également le cas un peu plus tard dans la soirée avec l'étonnante reprise de « Sunday bloody sunday » (U2).
Mais en pleine tournée de « Bretonne » son dernier album, même un soir de Saint-Patrick, Nolwenn se devait de jeter l'ancre en Bretagne. Notamment dans la rade de Brest, sa ville natale. « Brest », un des singles de son dernier album est un de premiers moments forts du spectacle. Comme, le titre suivant, « Le rêve des filles », issu d'un de ses premiers albums. Ce sera d'ailleurs une des rares incursions de l'artiste en dehors de son registre celtico-bretonisant.
Il faut dire que la chanteuse qui a su se laisser porter par la vague folklorique sait aujourd'hui ce qu'on attend d'elle. Le succès rencontré hier soir encore par des titres tels « Tri Martolod » (« Trois marins » en breton) « Dans les prisons de Nantes » ou « La jument de Michao » (« J'entends le loup, le renard et la belette… »), en atteste.
A leur débarquement après deux heures de voyage et quelque 23 escales, les passagers s'apercevaient en quittant le navire qu'il avait plu pendant leur balade en mer. Ambiance irlandaise jusqu'au bout…
Fabrice ALVES-TEIXEIRA
La tournée « Bretonne » a fait escale hier soir à Epernay. Des Sparnaciens bien chanceux : le soir de la fête des Irlandais, c'est Nolwenn en personne qui leur a chanté des airs de l'île verte.
Ils étaient 2 000 hier soir à s'être dit que passer la Saint-Patrick avec Nolwenn ne pouvait pas être une mauvaise idée. Qui de mieux que la jeune Brestoise et ses chants traditionnels pour incarner la fête chère à ces autres celtes que sont les Irlandais ?
Pour ce voyage, le Millesium avait pris hier soir des airs de vieux bateau. Un voile translucide étendu devant la scène avant l'arrivée de la chanteuse projetant des images de marée, le bruit de vagues, et même une petite brume. Le décor est planté.
Dès l'introduction, « Women of Ireland », les passagers savent qu'ils vont longer quelques fois dans la soirée les côtes vertes. La chanteuse apparaît, telle une ombre derrière le voile. Le navire applaudit à tout rompre.
Au morceau suivant, lorsque le voile tombe, elle se révèle enfin à son public. Alors que les premiers fans, et quelques enfants ne tiennent plus et s'empressent - déjà - d'aller poser quelques fleurs au pied de l'artiste, la belle se dandine au rythme d'un autre son anglo-saxon, « Dirty old town », morceau popularisé par les Pogues. Dans un ensemble noir à paillettes, petit pantalon collant, haut transparent, Nolwenn, lèvres d'un rouge vif, se promène sur le pont autour de ses musiciens. Avec leurs airs de vieux marins (des marinières, un kilt, des cheveux longs, quelques barbes), ils ne dépareillent pas avec l'ancre géante érigée au milieu de la scène.
Avec « Whiskey in the Jar » (chant traditionnel), l'équipage est revenu ensuite en Irlande. Ce sera également le cas un peu plus tard dans la soirée avec l'étonnante reprise de « Sunday bloody sunday » (U2).
Mais en pleine tournée de « Bretonne » son dernier album, même un soir de Saint-Patrick, Nolwenn se devait de jeter l'ancre en Bretagne. Notamment dans la rade de Brest, sa ville natale. « Brest », un des singles de son dernier album est un de premiers moments forts du spectacle. Comme, le titre suivant, « Le rêve des filles », issu d'un de ses premiers albums. Ce sera d'ailleurs une des rares incursions de l'artiste en dehors de son registre celtico-bretonisant.
Il faut dire que la chanteuse qui a su se laisser porter par la vague folklorique sait aujourd'hui ce qu'on attend d'elle. Le succès rencontré hier soir encore par des titres tels « Tri Martolod » (« Trois marins » en breton) « Dans les prisons de Nantes » ou « La jument de Michao » (« J'entends le loup, le renard et la belette… »), en atteste.
A leur débarquement après deux heures de voyage et quelque 23 escales, les passagers s'apercevaient en quittant le navire qu'il avait plu pendant leur balade en mer. Ambiance irlandaise jusqu'au bout…
Fabrice ALVES-TEIXEIRA
Re: Concert Epernay
Pas faux, visiblement les musicosss sont Hs ! Nolwenn va finir les achever l'un apres l'autre!
Et même Fredo je me demande si il ne va pas calancher avant la fin de la tournée...
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